Iga Borkowska
Après avoir étudié aux Beaux-Arts de Varsovie, Iga Borkowska s'est installée dans la campagne polonaise, où elle a passé trois ans à apprendre et travailler le tissage traditionnel avec des tisserandes locales. Elle s'est notamment initié au kilim, cette technique qui offre deux faces de tissage identiques avec des fils de chaîne invisibles et des dessins en général très géométriques.
Aujourd'hui, installée dans le Cantal, elle tire de cette expérience le goût du travail sur des métiers à tisser traditionnels. Le plus ancien qu'elle possède (il a presque 100 ans !) lui a été transmis par la tisserande polonaise qui lui a enseigné le tissage.
Elle tisse à la main avec ses deux matières naturelles préférées : la laine et le lin. Pour avoir vraiment le choix des couleurs, elle teint la laine elle-même. Cela lui permet de nuancer les tons et de transposer dans ses tissages le coloris exceptionnel de la nature cantalienne.
Iga s'est spécialisée dans le kilim, pour des grands tapis mais aussi des ouvrages plus petits tels que coussins, sacs, trousses,. Elle s'est également spécialisée dans la lirette, à base de tissus de récupération, pour des tissages gais, colorés et écoresponsable.
Elle donne des stages dans son atelier et vient au centre de formation Lainamac pour partager son savoir sur le kilim.
Aujourd'hui, installée dans le Cantal, elle tire de cette expérience le goût du travail sur des métiers à tisser traditionnels. Le plus ancien qu'elle possède (il a presque 100 ans !) lui a été transmis par la tisserande polonaise qui lui a enseigné le tissage.
Elle tisse à la main avec ses deux matières naturelles préférées : la laine et le lin. Pour avoir vraiment le choix des couleurs, elle teint la laine elle-même. Cela lui permet de nuancer les tons et de transposer dans ses tissages le coloris exceptionnel de la nature cantalienne.
Iga s'est spécialisée dans le kilim, pour des grands tapis mais aussi des ouvrages plus petits tels que coussins, sacs, trousses,. Elle s'est également spécialisée dans la lirette, à base de tissus de récupération, pour des tissages gais, colorés et écoresponsable.
Elle donne des stages dans son atelier et vient au centre de formation Lainamac pour partager son savoir sur le kilim.